Salon de l’automobile de Toulouse : retour en images sur l’édition 2013
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Environ 40 000 entrées pour l’édition 2013 du salon de l’automobile.
Le salon automobile de Toulouse a fermé ses portes ce dimanche 24 novembre. Et sur une note positive si on lit les propos de Philippe Dallard, organisateur du salon, PDG du groupe Dallard Citroën et président départemental du Conseil national des professions de l’automobile, parus dans un entretien accordé au quotidien La Dépêche du Midi. Selon lui, ce salon a attiré quelque 40 000 visiteurs en une semaine, et permis aux pros présent de réaliser autour de 800 ventes.
Les + et les – du salon auto de Toulouse
Un salon automobile, c’est toujours sympa. On y voit de belles carrosseries, toujours très bien lustrée, bien éclairées, bien entourées… A Toulouse, autant on pourra saluer un dispositif attrayant mis en place sur le stand Citroen, autant on pourra regretter un peu trop de simplicité sur les autres stands. Ah si ! Ferrari avait un peu travaillé le dossier en dressant quelques palissades pour planquer sa 458 Speciale bien au fond, bien à l’abri du regard des visiteurs. Dommage, c’était LA star du salon, elle était à peine visible. Pour autant, le stand Ferrari ne laissait pas indifférent avec la présence au premier plan d’une belle F12 Berlinetta, la Ferrari 458 Italia GT3. Idem pour le stand Maserati, juste à côté.
L’autre star de ce salon était le nouveau Nissan Qashqai, récemment présenté par la marque japonaise. Le Crossover phare de la gamme Nissan a rencontré un franc succès, et ce n’est pas un hasard.
Parmi les voitures que l’on ne croise pas tous les matins, on peut aussi noter la présence de la Jaguar F-Type et d’une Lexus FX 50 Vettel edition et de son moteur V8 5,0l de 420 ch. Un bel hommage au pilote allemand, au moment même où celui-ci terminait avec brio sa saison de Formule 1 avec une 13e victoire au Brésil ! Une réplique de la Red Bull racing Infiniti était d’ailleurs aussi de la partie sur ce salon de Toulouse.
La présence du concept citroen Tubik était en revanche bien remarquée, au cœur du stand Citroen. Cet ovni de monospace n’a pas manqué d’attirer les curieux. On aime ou on n’aime pas mais il faut avouer que le monstre ne laisse pas indifférent de par son gabarit, ses faces latérales réfléchissantes, son avant si caractéristique et ses portes papillon… Bref. Une bonne surprise.
Dans les points négatifs, on peut bien sûr aussi regretter l’absence de constructeurs de poids : Peugeot, Renault, BMW, Mercedes… Pas les moindres. L’organisateur du salon évoque des « problèmes d’organisation, car certains concessionnaires locaux de marques françaises ne sont pas venus, ce qu’on ne peut que regretter ». Gageons que la prochaine édition de ce salon, qui aura normalement lieu dans deux ans, viendra confirmer qu’il s’agit bien de « problèmes d’organisation » et pas d’un choix délibéré de laisser de côté cet événement, pourtant cher aux Toulousains.
