Soignez votre vue, elle est déterminante pour la conduite
2Une bonne vue est essentielle pour conduire un véhicule, qu’il s’agisse d’un deux roues ou d’une voiture. D’autant plus que la vue est énormément sollicitée par la conduite d’un véhicule. Tour d’horizon de la question avec l’outil d’un opticien en ligne, VisionDirect.fr, qui a imaginé une simulation pour découvrir les changements de notre vue au fil des heures de conduite.
Mortelle somnolence
Les caractéristiques propres à chaque conducteur jouent beaucoup : son acuité visuelle, le fait de porter des lentilles de contact ou bien de lunettes, l’âge (à partir d’un certain âge il est plus difficile d’évaluer les distances et la fatigue se fait davantage ressentir). Le fait de disposer d’une bonne vue ne met pas à l’abri. Après plusieurs heures, la vision est plus trouble et le champ visuel rétrécit.
Les signaux d’alerte sont nombreux : sensation d’inconfort, regard qui se fixe, sensation d’yeux secs, clignement de l’œil plus fréquent, œil qui pleure, sensation de paupières lourdes et de somnolence, vision trouble, sensation d’éblouissement, baisse de la sensibilité aux contrastes. Les conséquences sont immédiates sur la conduite : la trajectoire n’est plus aussi bien assurée. Les réflexes diminuent. Ce n’est pas un hasard si la somnolence est une des premières causes d’accidents mortels sur la route, la première sur autoroute.
Tout est bon pour gêner la vision
De nombreux facteurs extérieurs vont venir gêner les conducteurs.
- Le soleil / les phares d’une autre voiture. Lorsqu’un conducteur est ébloui par le soleil ou les phares d’une autre voiture, quelques secondes s’écoulent avant de retrouver parfaitement ses fonctions visuelles. Le soleil brouille la perception des contrastes sur la route.
- La nuit. L’obscurité crée une légère myopie et facilite l’éblouissement par les phares des autres véhicules.
- Les médicaments. Le fait de prendre des médicaments avant de conduire peut ainsi fausser la vision. Un symbole est à retrouver sur la plupart des médicaments concernés.
- La vitesse. A mesure qu’elle augmente, réduit le champ de vision.
- Les éléments de son véhicule. L’entretien de son pare-brise, de ses rétroviseurs intérieurs et extérieurs influence notre conduite.
- La pluie. La pluie trouble la clarté du pare-brise et ses éclaboussures empêchent d’évaluer les distances et de doubler les autres véhicules.
- Le brouillard. Il peut troubler la perception des distances et vos points de repères.
L’outil de Vision Direct simule la vue d’un conducteur selon qu’il a fait ou non des pauses, et selon qui utilise ou non une correction adaptée. On peut ainsi constater que la vue peut être sérieusement altérée après plusieurs heures de conduite. La Sécurité routière martèle régulièrement son invitation à effectuer une pause toutes les deux heures ou bien dès que les premiers signes de fatigue se font ressentir. Celle-ci est salutaire pour reposer ses yeux le temps de quelques minutes. Faire une sieste d’une quinzaine de minutes est même conseillé. D’autres attitudes sont bonnes à mettre en place avant de prendre le volant : bien dormir la veille, prévoir des lunettes de soleil fonctionnelles, être attentif aux signes de fatigue, éviter la conduite de nuit. Chaque conducteur est responsable de son comportement.
bonjour monsieur l energie cinetique d un obbjet = 1/2 de le masse * par la vitesse au carre : il faut baisser la vitesse meme a 60km/h le champ de vision retreci avec la vitesse .il faut l arret pietin automatique.
j attend vos commentaires plus pointu merci