Grand prix de Malaisie : vidéo résumé et conférence de presse
0Ce grand prix de Malaisie 2013 aura plutôt marqué les esprits. Plusieurs événements marquant se sont ainsi déroulé. Nous vous proposons de retrouver la vidéo du résumé complet proposée par la chaîne de télévision Canal + ainsi que les meilleurs moments de la conférence de presse d’après-course.
Fernando Alonso a abandonné très rapidement, au bout de quelques minutes seulement, à cause d’un aileron avant cassé. Alors qu’il avait touché et que son aileron présentait des signes de faiblesse juste après le départ, l’écurie Ferrari a fait le choix de continuer la course pour voir comment cela se présentait. Manque de bol, à peine franchit la ligne pour aborder le tour suivant que l’aileron s’est définitivement brisé, envoyé Alonso au bas à sable. C’était un mauvais choix assurément. Philosophe, le pilote de Formule 1 Alonso le sera après la course : « C’est toujours facile après coup de dire que ce n’était pas la bonne solution… »
Au rang des faits marquant, on notera aussi la boulette de Lewis Hamilton qui s’est trompé de stand et s’est rendu chez son ancienne écurie. La scène est assez cocasse puisque les techniciens McLaren s’écartent en le voyant arriver. Après la course on voit sa réaction et il n’apprécie visiblement pas que le journaliste vienne le « charier » sur ce point : « Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle », répond-il assez sèchement.
Sebastian Vettel s’impose après avoir fait le choix très rapide de changer de pneumatiques. Choix osé car toute la piste n’était pas entièrement sèche au moment où il est ressorti des stands. On a ensuite assisté à un beau duel entre les deux pilotes Red Bull qui se sont rendu coup pour coup. Un duel qui laissera probablement des traces dans la bonne atmosphère de l’équipe… « J’ai déconné et doublé Mark et maintenant il est très énervé », a reconnu Vettel après la course. Le pilote allemand n’a clairement pas respecté les consignes de sa hiérarchie qui avait demandé de lever le pied pour garder les pneus jusqu’au bout. Si Webber a un peu ralenti, Vettel n’en a eu que faire.